Dimanche 28 juin 2015, la girafe lit le journal. Elle est ravie de voir que de jeunes roannaises ont reçu le prix Joseph Kott, récompensant un travail mené, au collège et au lycée, pour défendre le respect de l’autre dans ses différences.
Pourtant, la girafe s’inquiète… et s’interroge !
Sur la même page, le journal annonce la fin des classes de neige pour les écoles roannaises.
Comment la municipalité roannaise peut-elle soutenir des associations qui luttent contre les discriminations et dans le même temps, se priver d’outils indispensables à ce combat comme les classes transplantées ?
Partir en classe de neige, c’est rencontrer celui qui, dans un premier temps, nous paraît différent, c’est vivre avec lui pendant plusieurs jours, c’est partager sa chambre, trouver des solutions à ses petits soucis et, à la fin du séjour, c’est comprendre qu’il est notre semblable.
BBD, « osons réfléchir ensemble »
je suis venu m'installer à Roanne en 2011 pr rapport à une politiques sociale et familiale qui m'intéresse, mais quand je lis ça je me demande si je ne devrais pas retourner habiter à lyon, où je travaille.... la politique là-bas au moins est plus engageante sur l'enfance et l'ouverture au monde0 extérieur.
RépondreSupprimerCe soir à 17h45 nous retournons à la mairie rencontrer M. le Maire et lui donner la pétition contre la suppression des classes transplantées.
RépondreSupprimerEspérons que cette fois il ne s'enfuira pas...
ou qu'il n'avancera pas le conseil municipal d'une heure pour nous éviter...
Rejoignez nous ! Encore une fois ; plus nous serons nombreux ...!
quand je lis ceci, je suis assez dégoutée de m'être installé sur Roanne pour le cadre de vie, je suis revenu m'installer par rapport à une politique sociale et familiale qui me plaisait mais quand je lis ça je regrette..... faut il peut-être se réfugier dans les campagnes roannaises pour avoir un meilleur cadre de vie. Pourtant je suis trop fière de faire partie des roannais qui sont revenus s'installer.....
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