Mardi 26 mai, le député-maire participait à une réunion de la commission développement durable et de l’aménagement du territoire à l’Assemblée nationale. M. Nicolin étant un adepte de l’absentéisme à l’Assemblée nationale, on peut féliciter le député d’avoir assisté à cette commission consacrée à l’audition de Philippe Duron sur le rapport de la commission « Avenir des trains d'équilibre du territoire ». Mais, intervenant lors de cette séance, M. Nicolin n’a pu résister au plaisir dont il raffole : le mensonge !
Au cours de sa courte intervention, M. Nicolin déclare : « j’emprunte le TGV et le TER chaque semaine. J’ai observé que j’étais contrôlé dans le premier une fois sur deux et dans le second une fois sur huit. »
M. Nicolin se rend en principe une fois par semaine à Paris. Mais contrairement à ce qu’il affirme, s’il emprunte bien le TGV pour effectuer ce trajet, il n’utilise pas le TER. En effet, tous les mardis, M. Nicolin se fait conduire au Creusot par le chauffeur de la mairie, dans sa Peugeot 508 flambant neuve. Et c’est seulement à partir du Creusot qu’il prend le TGV.
C’est donc la Ville de Roanne et les contribuables roannais qui financent chaque semaine le trajet aller-retour Roanne-le Creusot (avec frais d’essence, de chauffeur et d’usure de la voiture) ; alors que M. Nicolin perçoit une indemnité de frais de mandat de 5770€ par mois de l’Assemblée nationale censée couvrir notamment les frais de déplacement. Depuis qu’il est redevenu Maire en mars 2014, M. Nicolin ne prend plus le TER pour se rendre à Lyon ou la navette du bus pour se rendre au Creusot avant de rejoindre la capitale.
Une fois de plus donc, M. Nicolin est pris en flagrant délit de mensonge. Devant la représentation nationale il fallait oser ! Eh bien M. Nicolin l’a fait !
Au cours de sa courte intervention, M. Nicolin déclare : « j’emprunte le TGV et le TER chaque semaine. J’ai observé que j’étais contrôlé dans le premier une fois sur deux et dans le second une fois sur huit. »
M. Nicolin se rend en principe une fois par semaine à Paris. Mais contrairement à ce qu’il affirme, s’il emprunte bien le TGV pour effectuer ce trajet, il n’utilise pas le TER. En effet, tous les mardis, M. Nicolin se fait conduire au Creusot par le chauffeur de la mairie, dans sa Peugeot 508 flambant neuve. Et c’est seulement à partir du Creusot qu’il prend le TGV.
C’est donc la Ville de Roanne et les contribuables roannais qui financent chaque semaine le trajet aller-retour Roanne-le Creusot (avec frais d’essence, de chauffeur et d’usure de la voiture) ; alors que M. Nicolin perçoit une indemnité de frais de mandat de 5770€ par mois de l’Assemblée nationale censée couvrir notamment les frais de déplacement. Depuis qu’il est redevenu Maire en mars 2014, M. Nicolin ne prend plus le TER pour se rendre à Lyon ou la navette du bus pour se rendre au Creusot avant de rejoindre la capitale.
Une fois de plus donc, M. Nicolin est pris en flagrant délit de mensonge. Devant la représentation nationale il fallait oser ! Eh bien M. Nicolin l’a fait !
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